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Impardonnable, à cause du… 13
29 juin 2010 | 
Auteur:
J'ai annoncé récemment, pour tout à l'heure, l'ouverture au jeu en argent réel pour le poker en ligne avec 12 sites agréés par l'ARJEL. Et je mérite un coup de règle sur les doigts !
Je ne me moque pas de la faute de frappe concernant ACF Poker, puisque... j'avais purement et simplement oublié que EuroSport Bet avait également, lors de la première fournée, obtenu un agrément "jeux de cercle" ! Dont acte, puisque le site eurosportpoker.fr est accessible, et offre déjà aux joueurs la possibilité de participer chaque jour à 7 FreeRolls (tournois gratuits) richement dotés !
Donc, comptes refaits, cela fait bien... 13 sites de poker actuellement agréés pour la France ! Ca porte chance, non ?
Publié dans Actu des Salles, Législation | 
Tags : eurosportbet poker france, ouverture poker imminente
6 réponses à to “Impardonnable, à cause du… 13”
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Le poker en ligne, même pratiqué gratuitement, est strictement interdit aux moins de 18 ans.Dans le cadre des inscription et souscription à nos lettres d'infos, une déclaration simplifiée a été faite à la CNIL sous le n° 1438162
Jouer comporte des risques : endettement, dépendance...
Appelez le 09-74-75-13-13 (appel non surtaxé).
Toute personne souhaitant faire l'objet d'une interdiction de jeux doit le faire elle-même auprès du ser vice concerné au Ministère de l'Intérieur. Cette interdiction est valable dans les casinos, les cercles de jeux et sur les sites de jeux en ligne autorisés en vertu de la loi n° 2010-476 du 12 mai 2010. Elle est prononcée pour une durée de trois ans non réductible.
[...] post: Impardonnable, à cause du… 13 | Poker légal sur Internet June 28, 2010 // Games // No Comments [...]
Je ne veux pas jouer les trouble fêtes ni avoir l’air d’un paranoïac mais une question me vient à l’esprit concernant les logiciels de tout ces sites fraichement agréés.
Etant moi meme programmeur, je ne sais que trop à quel point il est difficile de savoir vraiment ce qu’il se passe dans un programme depuis l’exterieur…
Et du coup je me demande par quel moyen l’ARJEL compte conrcrètement controler les logiciels de tout ces sites qui majoritairement ne se trouvent même pas en France mais juste dans un des pays « ayant passé des accords administratif avec la France » fondamentalement n’excluant probablement que les paradis fiscaux comme défini dans l’article 21 de la loi…
Car évaluer ce que fait un logiciel ca necessite un gros travail de retro engineering, ou alors l’ARJEL se contente de la parole des sites qui ont demandé une license…
Je n’implique pas que automatiquement tous les sites vont manipuler à tour de bras mais je me demande simplement comment l’ARJEL envisage d’effectuer d’éventuels contrôles.
Car si aucun site n’est jamais controlé et surtout, controlé à l’improviste, la garantie de l’ARJEL ne pèsera pas lourd au final.
La confiance n’exclue pas le le contrôle comme on dit
Qu’en pensez-vous ?
bonjour,avons nous des dates précises concernant la sortie des décrets?cordialement.
Frédéric :
Le contrôle des logiciels fait partie des pré-requis ARJEL. Les serveurs DOIVENT être localisés en France, et il m’avait semblé lire il y a quelques semaines que les disques durs seraient « scellés » pour éviter toute manipulation… Mais cela reste à confirmer, je ne suis pas certain que cette procédure ait été adoptée par la suite…
Laurent :
Je surveille le Journal Officiel chaque matin… rien aujourd’hui, patience… peut-être demain ?
@Phil
Contrairement à ce que tout le monde affrime, la loi n’indique en rien que le serveur doivent se trouver en France.
Consultez les artcile 17, 18 et 21 qui y on trait.
La seule obligation dans ce sens est indiquée dans l’article 31 et concerne est un support d’archivage par lequel les données doivent « transiter ».
L’article 16 quand à lui indique que la société doit « présenter » les caractéristiques des logiciels sans plus de précision.
l’article 34 fait mention d’une homologation sans parler d’aucune investigation technique.
D’un point de vu mathématique il n’y a aucun moyen de démontrer sans équivoque qu’un tirrage était effectivement aléatoire ou pas en se basant uniquement sur ces données.
Tout au plus pourrait-on sur un très grand nombre de tirrage mettre en évidence un état statistique plus ou moins probable qui pourrait difficilement avoir un poids légal.
La question que je pose est: Quels sont les moyens que l’ARJEL se donne de verifier les caractéristiques techniques qui lui sont communiquées.
lien sur la loi:
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=3940D6A96CAC30DA613A23397F905307.tpdjo02v_1?cidTexte=JORFTEXT000022204510&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id
Tout à fait d’accord, en France, l’exigence ne concerne que le support « archive »… Mais il s’agit bien d’un « coffre-fort » informatique, qui DOIT être localisé sur le territoire français, et qui reprend A L’IDENTIQUE les données qui transitent, même vers un serveur situé dans un paradis fiscal. Cela concerne toutes les données : inscriptions, dépôts et retraits de fonds, mains jouées (par contre, à trouver, la durée d’archivage…).Quant aux stats : oui, mais il y aura toujours 52 cartes, et la logique des tirages ne pourra jamais établir la logique d’attribution des cartes à tel ou tel joueur… Il sera effectivement intéressant, dans un très proche avenir, d’échanger les expériences sur « l’équité » des tirages dans les tournois ou sur les grosses tables…